S’inspirant de voyages et de nature sauvage, Véronique Doucet crée en peinture des espaces utopiques surchargés de motifs, évoquant la convivialité.
L’œuvre La fin de l’homme ne sera pas la fin du monde s’inscrit dans sa démarche par son questionnement face à l’humain qui fait de la terre son territoire absolu. Elle pose un regard face à l’inconscience humaine. Elle dépeint une vision futuriste qui présente un monde à reconstruire. Elle s’inscrit comme œuvre alarmiste débordante d’intensité qui nous interroge sur nos propres comportements.
L’artiste
Originaire d’Arthabaska, dans les Bois-Francs, Véronique Doucet vit à Rouyn-Noranda depuis l’an 2000. Détentrice d’un baccalauréat ès arts de l’Université de Montréal, elle poursuit sa formation en s’inscrivant à divers ateliers et stages, notamment en performance. Artiste engagée dans la cause environnementale, Véronique Doucet réalise Aldermac : plantation minière en 2005, une exposition initiatrice d’une victoire pour l’environnement, qui sera reçue dans divers lieux d’exposition.
Depuis 2005, l’artiste participe à plusieurs manifestations artistiques, dont la Biennale d’art miniature de Ville-Marie et la Biennale d’art performatif de Rouyn-Noranda. Ses actions citoyennes pour la sauvegarde de l’environnement sont nombreuses et remarquées.
Véronique Doucet fut boursière à de nombreuses reprises, dont trois fois au Conseil des arts et des lettres du Québec. Ses œuvres font partie de diverses collections publiques.
La fin de l’homme ne sera pas la fin du monde
Peinture
Acrylique, fil et vernis sur bois
121.92 cm X 121.92 cm X 10.16 cm
2009